Expositions photographie printemps 2024

Expositions photographie printemps 2024. Sacha pour vogue 1972

Sacha Vogue 1972 © Sacha

Expositions photographie printemps 2024 est la suite des programmes qui nous sont proposés par les photo-sites que nous suivons.

Après les expos du Musée de Nice Henri Dauman : The Manhattan darkroom et celles de la MEP printemps 2024 vous trouverez dans le présent article les menus printemps du Musée de la photographie de Charleroi et celui du Musée Niepce de Chalon sur Saône

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Expositions photographie, printemps 2024 à Charleroi

Trois expositions, un film dans la boîte noire et la présentation des travaux de jeunes photographes dans la Galerie du Soir. Voici le programme que vous pouvez découvrir au Musée de la photographie de Charleroi (Belgique) jusqu’au 26 mai 2024.

Peter KNAPP. « Mon temps »

Dans la salle n°1

Cette exposition met à l’honneur l’œuvre de Peter Knapp dont la carrière est intimement liée au magazine Elle. Hélène Lazareff qui lui a confié en 1959 la direction artistique du magazine

Pour se remettre dans le contexte, à cette époque, une nouvelle vague d’émancipation de la femme se dessine. Elle participera à cette mutation. La rédaction ouvrira ses pages à Simone de Beauvoir, Françoise Sagan ou Marguerite Duras. Peter Knapp, quant à lui va bousculer les codes de la photographie de mode. Finis les mannequins figés dans des décors de marbres blancs ; il modernisera à la fois  les mises ne page, la typographie, les modes de prises de vue et les postures des sujets. Les photographies de Peter Knapp ont ouvert la voie à de nouvelles expressions graphiques. Il est indiscutablement « de son temps »

Expositions photographie printemps 2024 Peter Knapp

Peter Knapp, Pour Courrèges, Thoiry, 1979 © Peter Knapp

Peter Knapp est né le 5 juin 1931 à Bäretswil, en Suisse. Après avoir étudié à l’École des Arts Appliqués de Zürich  (typographie, peinture, photographie, techniques d’impression…) Il s’installe à Paris en 1951 où il étudiera aux Beaux-arts.

En 1955, il est employé comme directeur artistique des Galeries Lafayette. Il réorganisera la typographie et introduira a photographie dans les annonces publicitaires.

En 1959, et jusqu’en 1966 il sera directeur artistique du magazine Elle. Ensuite, il devient photographe indépendant et travaillera entre autres pour Vogue, Stern ou le Sunday Times. Il est en même temps directeur artistique  chez Courrèges et Ungaro.

Il reviendra chez Elle de 1974 à 1977.

De 1983 à 1994, il est professeur à l’Ecole Supérieure des Arts Graphiques de Paris. Peter Knapp partage aujourd’hui son temps entre New York, Paris et la Suisse où il continue la  photographie et la peinture.

Thomas CHABLE « Au-dessus des nuages »

Dans la salle n°2

Thomas Chable est né en 1962 à Bruxelles. Il a suivi les cours d’Hubert Grootedaes photographe liégeois. Il vit et travaille dans la ville de Liège.

Chable a beaucoup voyagé : la France, le Mexique mais il a une prédilection pour l’Afrique. Il a suivi le fleuve Niger, traversé la Guinée, le Mali, le Niger et le Nigéria. Il a réalisé une série de photos intitulée Odeurs d’Afrique.  Une autre série Brûleurs l’a amené  de l’Afrique à la France et à la Belgique en passant par le Maroc, à la suite des personnes qui entrent en Europe clandestinement.

Thomas Chable enseigne aujourd’hui la photographie à l’Académie des Beaux-arts de Liège.

Expositions photographie printemps 2024 Thomas Chable

Thomas Chable, Chiré, Ethiopie, 2013. ©Thomas Chable

Les photographies de Thomas Chable, en noir et blanc sont empreintes de poésie. Les gris estompent les contrastes entre l’ombre et la lumière. Les personnages sont ainsi discrets et fondus dans ses clichés.

L’exposition présentent à la fois des images actuelles et des photos tirées de séries anciennes. Elles sont à découvrir comme un ouvrage de littérature du voyage.

Elliot ROSS « Seeing Animals » 

Dans la salle n°3

Cette série est partie d’une question philosophique : la pensée animale est-elle tellement différente de celle des humains ? Cette question lui est venue en observant une photo de son chat : à quoi pensait-il au moment du déclic ?

Seeing animals rassemble des images qu’Elliot Ross a prises dans le monde entier. Il les présente en noir et blanc pour se différencier de la photographie animalière et il isole l’animal de son environnement. L’exposition est une véritable galerie de portraits.

Elliot Ross Animal (196), 2011 © Elliot Ross

Elliot Ross Animal, 2011 © Elliot Ross

Elliot Ross est né à Chicago en 1947. Il est titulaire d’un Master en Art du San Francisco Art Institut. Il partage son temps entre San Francisco et New York avec son épouse Ellen Ullman, écrivaine.

De nombreuses expositions, à travers le monde ont présenté ses œuvres, personnellement ou collectivement. La Bibliothèque Nationale de France, le Museum of fine Art de Houston, le San Francisco Museum of Modern Art, le Center for Creative Photography de l’Université de Tucson en Arizona accueillent ses clichés dans leurs collections.

Ingel VAIKLA « Papagalo, What’s The Time ? » 

dans la boîte noire

Ingel Vaikla

Extrait de Papagalo, What’s The Time?  © Ingel Vaikla

Il s’agit d’un film de 7 minutes en 16 mm transféré en vidéo HD, noir et blanc, son stéréo.  Il présente des élèves du Collège Saint Paul de Bruxelles. Les bâtiments ont servi  de pavillon pour la Yougoslavie à l’exposition universelle de 1958. La caméra se déplace de l’extérieur vers l’intérieur, le long des couloirs, d’un étage à l’autre en suivant les élèves. Ingel Vaikla associe l’architecture et les corps en mouvement.

Natalie MALISSE et Camille SEILLES « Le cœur à même la peau »

dans la galerie du soir

De la série le cœur à même la peau © Natalie Malisse et Camille Seilles

Pour cette nouvelle édition de la Galerie du Soir, en partenariat avec le journal le Soir le choix « jeunes talents » s ́est porté sur Natalie Malisse et Camille Seilles.

Ces deux amies se destinaient, l’une et l’autre à des carrières scientifiques. Elles ont dans leur parcours rencontré la photographie et l’ont adoptée. C’est à l’École Supérieure des Arts, le 75, de Bruxelles  que Natalie, la belge et Camille, la française se sont connues.

Leur projet commun est une étude de deux jeunes adultes, Lou et Lola qui sont en proie à des troubles de comportement : anxiété, dépression, difficulté de concentration… Lou et Lola, écorchés vifs, fragiles, précaires ont le cœur à même la peau. C’est le sujet du travail de Natalie et de Camille.

Pour vous rendre au Musée de la photographie de Charleroi, les informations pratiques : museephoto.be

Expositions printemps 2024 à Chalon sur Saône

Pour cette saison, le musée de la photographie Nicéphore Niepce de chalon propose deux expositions intéressantes qui seront visibles jusqu’au 19 mai 2024.

Hasard des programmations ! Nous avons vu plus haut que le musée de Charleroi expose Peter Knapp pendant que celui Chalon expose Sacha… Knapp a embauché Sacha comme photographe au magazine Elle, en 1964, alors qu’il en était le directeur artistique.

Avant d’en savoir plus sur Sacha, voyons la dynastie de tireurs Fresson. Non, ce n’étaient pas des adeptes de la pétanque! Alors que de nombreux photographes développaient eux-mêmes leurs photos pour leur donner l’aspect final qu’ils souhaitaient, d’autres faisaient appel à des tireurs, artisans spécialisés. La famille Fresson est experte dans cette pratique depuis 1899

Paysage(s) Fresson(s)

jusqu’au 19 mai 2024.

Fresson est un nom de famille. Le « s » entre parenthèses indique qu’ils sont plusieurs. En effet quatre membre de cette dynastie ont perpétué et continuent à développer des processus de tirage de photographies

Le premier, Théodore-Henri (1865-1951) a présenté en 1899 un procédé de tirage appelé « charbon satin » à la Société Française de Photographie ; ce procédé rencontrera un grand succès jusqu’au milieu du XXème siècle. Le papier charbon-satin donne des images aux couleurs douces, satinées, chaudes, légèrement floues, presque granuleuses malgré le papier lisse. Au tournant des années 1950, pour le grand public, le développement va s’industrialiser. Le prestige de la famille Fresson lui permettra de continuer de travailler pour des photographes et des agences professionnels.

Le fils de Théodore-Henri, Pierre (1904-1983) et son petit-fils, Michel (1936-2020) vont mettre au point un nouveau procédé de tirage adapté à la couleur. Ils s’installent à Savigny-sur-Orge en 1952. Jean-François (fils de Michel) rejoint l’atelier en 1978 et continue à réaliser des tirages de qualité (deux à cinq jours de travail sont nécessaires pour un développement)

Pierre Fresson

Pierre Fresson dans l’atelier vers 1971 © Bernard Plossu

Bernard Plossu et ses amis ne jurent que par le procédé Fresson pour le développement de leurs prises de vue. Les photographies de Bernard Plossu tirées par les Fresson deviennent des compositions impressionnistes. Plossu a fait la promotion de l’atelier de Savigny-sur-Orge.  Jean-Claude Couval, Douglas Keats, Philippe Laplace, Laure Vasconi et Daniel Zolinsky confient les tirages de leurs images à l’atelier Fresson.

Ce sont leurs photographies qui sont à voir dans l’exposition du musée Niepce ainsi qu’une présentation de la dynastie Fresson. 

Sacha

jusqu’au 19 mai 2024.

Sacha van Dorssen est née en 1940 à Rotterdam. Elle est arrivée à Paris en 1964. Elle a su très vite s’imposer comme une photographe de mode atypique dans une profession qui restait très masculine. Elle a collaboré avec les grands magazines à l’époque de leur âge d’or (Elle, Sunday Times, Stern, Vogue, Marie-Claire…). De nombreuses photographies publicitaires portent sa signature (Saint-Laurent, Dim, Vuitton, Dior…) C’est une véritable entreprise (régisseur, éclairagiste, coiffeur, maquilleur, assistants administratifs…) que Sacha va diriger jusqu’en 1999. 

Avec Sacha, les mannequins ne semblent jamais poser. On a l’impression qu’ils sont saisis dans leur intimité. Ils semblent oublier la présence de la photographe et de son équipe. Les paysages occupent une place essentielle. Sacha sait intégrer ses modèles dans les décors, elle préfère la lumière extérieure à celle des studios. Peter Knapp dira que Sacha produit des photographies douces. Le vêtement ne semble pas être le sujet principal, il s’intègre à l’ambiance agréable et devient ainsi un élément de désir.
Mode, publicité, reportages… depuis 1964, Sacha a construit une œuvre singulière faite de lumière, d’exigence et de sincérité.

Expositions photographie printemps 2024 Sacha

Sacha pour Vogue 1986 Sri Lanka © Sacha

Informations pratiques sous le lien pour visiter le musée Niepce de Chalon. En deux mots : l’entrée est gratuite, fermé le mardi et les jours fériés.

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Le bouquiniste

Le bouquiniste

Le bouquiniste est un recueil d’ouvrages en rapport avec la photographie qui peuvent vous documenter au-delà de nos articles. Chaque paragraphe présente un livre et vous donne accès à un lien commercial.

Nous les avons regroupés par thème :

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Le bouquiniste : Histoires de la photographie

La photographie humaniste, 1945-1968 : Autour d’Izis, Boubat, Brassaï, Doisneau, Ronis…

Le bouquiniste : la photographie humaniste

Auteurs : Dominique Versavel, Laure Beaumont-Maillet et Françoise Denoyelle.

Autour des photographes humanistes célèbres plus de soixante reporters-illustrateurs méritent aussi d’être à l’honneur. Ils ont apporté leurs témoignages sur la vie des Français de l’après-guerre. La Bibliothèque Nationale de France conserve des œuvres de la plupart de ces auteurs. Ce sont ces fonds qui sont présentés dans l’ouvrage

182 pages – Textes en français – Éditions BNF en novembre 2006 – 22.5 x 25 cm,

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La photographie humaniste : 1930-1960, histoire d’un mouvement en France

Livre photographie humaniste 1930 - 1960

Auteur Marie de Thézy, avec la collaboration de Claude Nori

Ce livre « collector » nous présente l’esprit du mouvement humaniste à travers les images d’une soixantaine de photographes

Le mouvement humaniste français a marqué la photographie, mais aussi le cinéma et la littérature de l’ après-guerre. Les photographes avaient initié dès les années trente, cette vision du monde, entre réalisme et poésie.

239 pages – Textes en français – Éditions Contrejour – paru en janvier 1992 –

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Le pictorialisme en France

Le bouquiniste : le pictorialisme en France

Le pictorialisme est un mouvement photographique né à la fin du XIXème siècle, qui s’est prolongé jusque dans les années 1920. Ce mouvement a contribué à faire admettre la photographie comme expression artistique à part entière. L’ouvrage, richement illustré, présente de nombreux photographes pictorialistes français. Michel Poivert est l’auteur. René le Bégeu en a écrit l’introduction et Bernard Marbot l’a préfacé.

Textes en français, paru en 1992 aux éditions Hoëbeke. 108 pages (25 cm x 31 cm).

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Une histoire photographique des femmes au XXème siècle

L’évolution de la société du XXème siècle à l’égard des femmes est le thème de ce livre. Elles sont passées du statut de mineures, sous la tutelle de leurs pères puis de leurs maris à celui d’égalité avec les hommes.

Agnès Grossman nous raconte cette épopée en images.

Ouvrage de 256 pages paru aux éditions Gründ en novembre 2022.

Textes en français. Dimensions 23.5 cm x 29.7 cm

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La mission héliographique

Le bouquiniste : la mission héliographique

La mission héliographique a été confiée à cinq photographes : Edouard Baldus, Hippolyte Bayard, Gustave Le GrayHenri Le Seck et Auguste Mestral. Le mandant était la commission des monuments historiques dirigée alors par Prosper Mérimée. Il s’agissait de parcourir la France pour photographier les monuments. Dans cet ouvrage, Anne de Mondenard vous raconte cette épopée.

édité en 2002 aux éditions de patrimoine : « La mission héliographique – Cinq photographes parcourent le France en 1851 »

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Le bouquiniste : les grands noms de la photographie

Atget, voir Paris

Le bouquiniste : Atget voir Paris

Une exposition a été organisée en 2021 par la Fondation Henri Cartier-Bresson : Eugène Atget Voir Paris. (mon article vous en dit plus). Un livre a été publié à l’occasion de cette exposition. Anne de Mondenard et Agnès Sire en sont les auteurs , publié aux éditions Xavier Barral en 2020. Parmi les illustrations, 170 représentent des photos exposées à la Fondation H C-B.

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Hippolyte Bayard

Le bouquiniste Hippolyte Bayard

Hippolyte Bayard est l’un des pionniers de la photographie. Il exposait au public des photos qu’il avait réalisé sur papier au moment où Daguerre et son daguerréotype étaient présentés aux instances officielles. Son choix lui fut préjudiciable car il n’obtint pas la reconnaissance officielle et les subsides qui l’accompagnaient. Il en garda une certaine rancœur qui ne l’empêcha pas de contribuer à l’évolution du médium.

Cet ouvrage vous en dit plus. Il est écrit par un collectif. L’introduction est de Michel Poivert.

Paru aux éditions Acte Sud. 144 pages (12.5 cm x 19 cm).

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Nadar de Stéphanie de Saint Marc

Le bouquiniste : Nadar

Nous avons consacré un article à Félix Nadar, considéré comme le premier des photographes. Pour en savoir plus sur Félix Nadar, je vous propose la lecture de ce livre , de Stéphanie de Saint Marc,

publié en septembre 2010 aux éditions Gallimard.384 pages, format 15,7 x 22,5 cm. Lien commercial :

L’odyssée de Paul Nadar au Turkestan

L'odyssée-de-Paul-Nadar

Nous présentons cet ouvrage d’Anne-Marie Bernard et de Claude Malecot dans notre article consacré à Paul Nadar. Ils racontent le périple du photographe au Turkestan. Les quantités de photos de qualité qu’il a ramenées attestent qu’il a réussi les tests avec ses deux appareils : le premier Kodak à film à rouleaux et l’Express Détective.

Ouvrage relié de 274 pages, Éditions du Patrimoine, 2007, format 24 x 18 cm.

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Le monde de Proust vu par Paul Nadar

Librairie Le monde e Proust

Anne-Marie Bernard et Pierre-Jean Rémy nous proposent une promenade à travers la galerie des portraits des personnages qui ont inspiré Marcel Proust pour « À la recherche du temps perdu ». Aristocrates, bourgeois, artistes, actrices, sont tous des familiers de l’écrivain. On retrouve dans cet ouvrage, 120 portraits dont 40 totalement inédits reproduits à partir des plaques tirées des archives de Paul Nadar. Les textes apportent un éclairage nouveau sur l’œuvre de l’écrivain,  du photographe et de leurs modèles.

Ouvrage relié de 158 pages, édité aux Éditions du Patrimoine en 1999, format 24 x 18 cm. Lien commercial :

Portraits de Steve Mc Curry

Le bouquiniste Portraits de Steve Mc Curry

La photographie la plus célèbre de Steve Mc Curry est celle de Sharbat Gula l’afghane aux yeux verts. Elle illustre la couverture de cet ouvrage qui est un recueil de portraits réalisés par Steve Mc Curry. Des hommes des femmes, des enfants de tous les milieux, de toutes les cultures nous viennent du monde entier. Mc Curry a le don de saisir les aspects les plus profonds et les plus bouleversants de l’âme humaine.

Paru aux Éditions Phaidon France en mars 2013. 480 pages. Format 13 x 19 cm.

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À la recherche d’un ailleurs

Steve Mc Curry parcourt le monde depuis quarante ans (Afghanistan, Éthiopie, Chine, Guatemala …) Nous identifions ses photographies dès le premier coup d’œil par les couleurs et la composition. Le caractère, la profondeur qui émanent des portraits de Mc Curry font la particularité son œuvre.

Paru aux Éditions de la Martinière en 2020, textes en français, 209 pages, Format 28 x 39 cm

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Le bouquiniste : photo-sites

Studio Harcourt

Le bouquiniste Studio Harcourt

À l’occasion de l’exposition : Studio Harcourt, l’art de la lumière, organisée par la Musée Charles Nègre, de Nice, nous avons présenté cet ouvrage de Françoise Denoyelle qui retrace 75 ans d’existence du Studio Harcourt. Les plus grandes personnalités françaises et internationales se sont succédé dans ce temple de la photographie. Les plus beaux portraits en noir et blanc y furent réalisés. Découvrez  l’aventure et au-delà de la griffe, le mythe Harcourt.

Édité en 2012 chez Nicolas Chaudun, 256 pages, en français, 17,5 x 25 cm. Cartonnage et jaquette illustrés. Lien commercial :

L’art du portrait selon Harcourt

La librairie, Harcourt

Depuis près de 90 ans la griffe Studio Harcourt s’impose comme synonyme d’excellence et de prestige dans la photographie artistique française. Le Studio Harcourt est essentiellement connu pour ses portraits de célébrités. Il ouvre également ses portes au grand public. Cet ouvrage, illustré avec près de 150 photographies, retrace l’histoire du studio. Mais pour la première fois, Studio Harcourt dévoile son savoir-faire, pour nous permettre de décrypter l’image avec toutes ses techniques, lumière, pose, cadre et cadrage.

Édité par Pearson en 2010, textes en français, 224 pages, 17 x 21 cm

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Harcourt Paris, le mythe, 80 ans

Le bouquiniste Studio Harcourt, le mythe

À l’occasion des 80 ans du Studio Harcourt, l’auteur Dominique Besnehard, propose une histoire de la maison dans une première partie. La suite est un portfolio de 80 personnalités mythiques: de Salvator Dali à Carole Bouquet, en passant par Édith Piaf, Jeanne Moreau, Catherine Deneuve, Jean-Paul Belmondo ou Jean Dujardin. Un ouvrage à la hauteur du mythe du studio Harcourt, au graphisme sobre et élégant.

Paru aux Éditions de la Martinière en 2014, en français, 188 pages, 25 x 32 cm

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La MEP printemps 2024

La MEP, printemps 2024 Lisa Fonssagrives

Lisa Fonssagrives, années 1940  © Estate of Fernand Fonssagrives

La MEP printemps 2024

est le programme de la nouvelle saison que vient de publier la Maison Européenne de la Photographie.

Une fois de plus la sélection est très féminine. La présentation sacrifie à la mode de l’écriture inclusive.

Ceci étant dit, voici le programme, riche, en toute objectivité, de 4 expositions. J’espère que vous ne m’en voudrez pas d’utiliser le français académique sans les « ·e·s »

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La MEP printemps 2024

Pour la première saison de 2024 la Maison propose dans les galeries deux expositions : Extérieurs – Annie Ernaux et la photographie et Lisa Fonssagrives-Penn – Icône de mode, Ces expositions sont visibles du 28 février au 26 mai.

Dans le Studio, L’exposition Iris Millot – Le soleil passe à l’embranchement sera présentée jusqu’au 7 avril 2024

Enfin dans la petite galerie, et jusqu’au 26 mai la MEP montre des photos d’archives sous le titre : Les mots sont des images comme les autres

Extérieurs – Annie Ernaux et la photographie

Restaurant vers 1900, Garçon

© Janine Niepce

Extérieurs – Annie Ernaux et la photographie

Dans la galerie 2, du 28 février au 26 mai 2024

Annie Ernaux fut lauréate du prix Nobel de littérature 2022. Elle s’intéresse depuis toujours à la photographie et les photos de son enfance sont mentionnées dans ses ouvrages. Dans son livre Journal du dehors  (1993) elle écrit :

« J’ai cherché à pratiquer une sorte d’écriture photographique du réel, dans laquelle les existences croisées conserveraient leur opacité et leur énigme »

Annie Ernaux

La commissaire – écrivaine Lou Stoppard, a associé des images de la collection de la MEP aux textes tirés du livre d’Annie Ernaux : Journal du dehors. L’exposition est une sélection de 150 tirages réalisés par 29 photographes. La plupart des images sont prises en France, mais également en Grande Bretagne, au Japon et aux États-Unis. Des extraits des textes d’Annie Ernaux côtoient les photographies.

Lisa Fonssagrives-Penn – Icône de mode

Dans la galerie 3, du 28 février au 26 mai 2024

Lisa Fonssagrives-Penn (1911-1992), était danseuse, mannequin, photographe, styliste, sculptrice… Elle est considérée comme le premier « top model » de l’histoire. Pendant 20 ans, elle a fait environ 200 couvertures des grands magazines de mode. Elle a collaboré avec les plus grands photographes de son époque (Entre autre Fernand Fonssagrives et Irving Penn qui furent ses époux). Lisa participait pleinement à l’élaboration des photographies  pour lesquelles elle posait.

L’exposition

Près de 150 tirages réalisés dans les années 1935 à 1955 par de grands photographes constituent cette exposition. Elle offre un florilège de l’âge d’or de la photographie de mode magnifiée par un modèle d’exception. Tom Penn, le fils de Lisa Fonssagrives-Penn et d’Irving Penn a proposé cette exposition à la MEP et lui a fait don d’une partie des tirages.

Lisa Fonssagrives, années 1940 

© Estate of Fernand Fonssagrives

La MEP printemps 2024 Iris Millot

Le cafoutch d’Hélène, 2023

© Iris Millot

Iris Millot — Le soleil passe à l’embranchement

Au studio du 28 février au 7 avril 2024

Iris Millot est née à Paris en 2000, Elle est diplômée de l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles et elle est titulaire d’un BTS de photographie. Elle vit et travaille à Marseille. Elle a exposé en 2023 aux Rencontres d’Arles. La même année, elle a obtenu dans la catégorie Photographie et Arts Visuels, le prix Dior des jeunes talents. Outre sa pratique de la photographie elle est active dans l’organisation d’expositions de photos et du Printemps d’Arles.

L’exposition

Le soleil passe à l’embranchement est une série qu’Iris Millot a réalisé en prenant sa grand-tante pour sujet. Hélène vit depuis 40 ans dans la ferme de sa famille. Elle cultive encore la terre et entretient la forêt à 77 ans. Iris raconte cette vie à partir de photographies, d’enregistrements, et d’archives trouvées dans les carnets et même dans le grenier d’Hélène.

Les mots sont des images comme les autres

Dans la petite galerie du 28 février au 26 mai 2024

Cette exposition propose des images de la collection de la MEP, en même temps que le film de William Klein de 1959 Broadway by light. L’ensemble de cette présentation fait écho à celle de la galerie 2 Extérieurs-Annie Ernaux et la photographie. Elle associe des mots aux images.

On invite le public à une réflexion : comment le cerveau interprète-t-il ce que l’œil voit ? Quels mots allons-nous employer pour donner un sens à ce que nous voyons ?

Parfois le mot s’intègre dans l’image. Des artistes l’utilisent pour créer une nouvelle expression artistique.

La petite galerie est en principe un espace dédié au jeune public, mais les grands trouveront également  un intérêt dans cette exposition ludique.

Collection MEP

La MEP printemps 2024, Informations pratiques

Voici ci-dessous les informations pratiques et les liens pour visiter le site ou joindre la billetterie.

Nous notons que les tarifs ont augmentés de 27 % en un an !

Situation

5 et 7 rue Fourcy 75004 Paris

Métro Saint Paul
+33 (0)1 44 78 75 00

Horaires

Mercredis et vendredis  de 11 h  à 20 h
Jeudis de  11 h à 22 h
Week-ends de 10 h à 20 h
(Créneau réservé aux abonnés les dimanches de 10 h à 11 h)
Fermé les lundis et mardis

Tarifs

Plein tarif : 14.00 €
+ de 65 ans : 11.00 €
– de 25 ans : 9.00 € étudiants : 9.00 € demandeurs d’emploi : 9.00 €

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Mettre en lumière la diversité et l’inclusion à travers la photographie

La diversité et l'inclusion Canon

Dans le monde des arts visuels, l’intention derrière une œuvre est tout aussi importante que sa beauté esthétique. Pour Justin Dingwall, photographe sud-africain de renommée internationale, sa démarche va bien au-delà de la simple célébration de la beauté. Ses photographies sont un puissant plaidoyer en faveur de la diversité et de l’inclusion, mettant en lumière la différence comme source d’inspiration et de force.

Le parcours de Justin Dingwall

Justin Dingwall a étudié la photographie à l’École d’art et de design de Pretoria. Il a rapidement gagné en notoriété grâce à son approche innovante et sophistiquée du médium. Ses créations sont empreintes d’une profonde compréhension des valeurs culturelles et sociales qui façonnent notre époque. Il s’est ainsi imposé comme l’un des photographes les plus en vue dans le domaine du portrait, de la mode et de l’art engagé pour la diversité.

Collaboration avec des marques et des personnalités

Au cours de sa carrière, Justin Dingwall a eu l’opportunité de travailler avec des marques prestigieuses telles que Adidas ou Schweppes. En outre, il a collaboré avec de nombreuses personnalités issues de différents horizons, notamment des mannequins albinos, des drag queens et des personnes atteintes du syndrome de Down. Chacun de ces projets témoigne de sa volonté de mettre en valeur la singularité de chaque être humain.

Expositions mondiales

Des expositions internationales, comme la Biennale Africaine de la Photographie, au Mali, ont présenté le travail de Justin Dingwall. Il a également remporté plusieurs prix prestigieux pour ses œuvres, notamment les Sony World Photography Awards. Ces reconnaissances sont le fruit de son engagement sans relâche à véhiculer un message d’amour, d’acceptation et de tolérance.

La diversité comme mot d’ordre

Voyant en la photographie une puissante plateforme pour le militantisme social, Justin Dingwall s’engage résolument pour la cause de la diversité et de l’inclusion.

Fighters : Sensibiliser sur l’albinisme

Dans sa série « Fighters », il met en scène la mannequin sud-africaine Thando Hopa et le chanteur Sanele Xaba, deux personnalités albinos qui dénoncent les stéréotypes et préjugés auxquels ils font face. En collaboration avec Justin Dingwall & Roman Handt, cette série vise à améliorer la compréhension de l’albinisme. En outre, elle suscite le dialogue autour de cette question pour mieux sensibiliser le public à ses enjeux.

Beautiful Aging : Célébrer les différentes étapes de la vie

Dans sa série « Beautiful Aging », il explore les multiples facettes de la beauté et de la temporalité. Mettant en scène des femmes de tous âges, cette série reflète la manière dont chaque individu vit différemment le passage du temps et évolue tout au long de sa vie. Dans ce contexte, la diversité est une occasion de partager, d’échanger et de grandir.

la diversité et l'inclusion

Promouvoir l’inclusion à travers l’art

Chacune de ses œuvres peut être interprétée comme un hymne à la diversité et à l’inclusion. Ses portraits démontrent que la beauté réside dans notre capacité à nous ouvrir aux autres et à apprécier leurs différences.

Faire tomber les barrières sociales

En décloisonnant les frontières entre la mode, l’art et l’engagement social, Justin Dingwall contribue à faire tomber certaines barrières qui divisent notre société. Appelant toujours à repenser nos jugements et préjugés, chaque photographie est empreinte d’une volonté de dialogue et d’enrichissement mutuel.

Ouvrir les portes de l’univers artistique à tous

Au-delà de son travail photographique, il milite également pour l’inclusion des individus marginalisés dans l’univers artistique. Il crée ainsi de nouvelles opportunités pour ceux qui ont été mis à l’écart. Il collabore régulièrement avec d’autres artistes partageant la même vision sociale pour participer à un changement durable des mentalités.

Un artiste engagé

En somme, Justin Dingwall est une figure emblématique de la photographie contemporaine. Son message passe par la célébration de la différence et de la diversité. Grâce à ses créations, il nous rappelle que l’art peut contribuer au rapprochement des cultures et influencer positivement notre regard sur notre société.

La plume séduisante de ce photographe engagé fait de lui un acteur majeur dans la lutte pour la reconnaissance et la valorisation des différences culturelles, sociales et physiques qui nous rendent uniques.

Henri Dauman : The Manhattan darkroom

Henri Dauman : The Manhattan darkroom

Henri Dauman : The Manhattan darkroom est la nouvelle exposition que le musée Charles Nègre de Nice présente du 17 février au 26 mai 2024.

Le Palais d’Iéna de Paris a inauguré cette rétrospective en 2014, Après le musée Niepce de Chalon en 2017, c’est au tour du musée Charles Nègre de clôturer cette série. Henri Dauman est décédé en 2023 à New-York.

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Dans les années 1960, l’Amérique est en pleine mutation. New-York est le creuset de cette transformation. Les arts sont florissants (Andy Warhol, Philip Glass, Walter Wendy Carlos). La communication politique évolue (John V. Lindsay, Richard Nixon, John F. Kennedy). Les mouvements (féministes, afro-américains) manifestent. Henri Dauman est le témoin de ces changements qu’il relate dans les magazines pour lesquels il travaille : Life, Newsweek et surtout le New-York times. The Manhattan darkroom, au delà d’une exposition est un mémorial de l’Amérique des années 1960.

Henri Dauman

Henri Dauman

© Henri Dauman, New-York 2022

Henri Dauman est né à Paris en 1933 dans le quartier de Montmartre. Pendant la guerre, son père est arrêté par la police de Vichy. Il mourra en déportation  à Auschwitz. Pour échapper aux rafles, Henri fuit en Normandie où il assiste au débarquement des alliés. De retour à Paris, il retrouve sa mère. Tragédie du destin : cette dernière sera victime, avec 5 autres personnes d’un empoisonnement avec des médicaments frelatés  vendus par un pharmacien parisien.

Après un séjour en orphelinat, Henri émigre aux États-Unis. Il retrouve son oncle qui l’accueille en 1950. Il débute très vite dans la carrière de photographe-journaliste. Dans un premier temps, il est correspondant de presse avec des magazines français (France-Amérique, L’Express, Jours de France ou Paris match). Ensuite, il va collaborer avec les magazines américains qui sont très prospères.

Dauman a du succès tant par son style photographique que par son sens de la narration. Il est parfaitement bilingue, il est disponible, dynamique. Ses qualités lui permettent d’être apprécié des rédacteurs en chef qui lui confient des reportages importants.

Le succès d’un français à New-York

Il fera les portraits de célébrités américaines et françaises, de passage en Amérique, (Liz Taylor, Marylin Monroe, Arthur Miller, Miles Dais, Groucho Marx,  Elvis Presley, Brigitte Bardot, Alain Delon, Georges Simenon, Jacques Tati, Yves Saint-Laurent…)

Il sera le témoin de l’évolution de la société durant les années 1960. L’introduction de la couleur dans ses images correspondra à la transformation de la société. La « révolution » des années 1960, n’est-elle pas le passage du noir et blanc à la couleur ?

Dauman restera indépendant pendant toute sa carrière. Il militera pour la reconnaissance du travail des photographes et pour l’application des droits d’auteur à leurs œuvres.

Il attendra l’âge de 80 ans pour qu’une rétrospective de sa carrière soit organisée. The Manhattan darkroom sera présentée au grand public au Palais d’Iéna (Paris) en 2014, au Musée Niepce de Chalon en 2017 et aujourd’hui au Musée Charles Nègre de Nice.

Henri Dauman est décédé à New-York le 13 septembre 2013.

The Manhattan darkroom

The Manhattan darkroom chômage des jeunes

Le chômage des jeunes, New-York 1963 © Henri Dauman

L’exposition présente 170 photos.

The Manhattan darkroom, plus qu’une exposition photographique est un mémorial de l’Amérique moderne. Dauman témoigne avec fidélité et originalité de la mutation opérée dans les années 1960.

Il a également photographié l’architecture new-yorkaise : Manhattan, Greenwich village, le Bronx…

Nous apprécierons particulièrement ses portraits en noir et blanc ou en couleur. Il se complait à rechercher la nature véritable de ses sujets et à la faire transparaître dans ses images.

Le spectateur a l’impression d’être dans l’intimité du personnage photographié. Les portraits féminins, en outre, sont emprunts d’une tendresse particulière.

Paradoxalement c’est dans les magazines que Dauman a témoigné de la mutation de la société. Cette même mutation a mis fin à l’âge d’or des magazines avec l’emprise grandissante de la télévision.

Commissaires d’exposition originels : Audrey Hoareau et François Cheval

Délégué général d’exposition : Vincent Montana

The Manhattan darkroom, Miles Davis

Miles Davis, au Randall’s Island Jazz Festival, New York, le 23 août 1960 © Henri Dauman

Informations pratiques

Musée de la Photographie

1, Place Pierre Gautier – 06300 Nice
Tel : 04 97 13 42 20
Mail : musee.photo@ville-nice.fr

Accèssible aux personnes à mobilité réduite.

Tramway : ligne 1 – arrêt « Opéra Vieille Ville »

Parkings : Nice Saleya, Corvesy, Palais de Justice

 

Horaires :

Fermé le lundi, le dimanche de Pâques et le 1er mai

Le musée : de 10h à 18h

La galerie : de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h

Rappel

Dans mon article

Je vous ai présenté cette expo des œuvres alpestres de Robert Forte.

Notez qu’elle est visible dans la galerie du musée Ch.Nègre jusqu’au 17 mars 2024.

Tarifs :

Visite individuelle : 5 €. Un pass de 4 jours vous permet d’avoir accès à tous les musées de Nice pour 15 €.

Visite de groupe (à partir de 10 personnes) 4 € et 10 € pour le « pass musées »

Il y a des gratuités, je vous invite, pour en savoir plus, à la billetterie du musée :

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5 idées d’images à mettre à l’intérieur de son bracelet photo

Un bracelet photo, c’est comme un petit musée personnel que vous portez au poignet. Choisir la bonne image pour ce bijou est essentiel pour en faire un objet significatif et cher à votre cœur. Voici cinq idées d’images parfaites pour immortaliser dans votre bracelet photo.

Un moment familial inoubliable

idée d'image pour un bracelet photo, famille

Capturez la chaleur d’un souvenir familial.

  • Pensez à une photo de famille qui vous fait toujours sourire : un anniversaire, un repas de famille, ou une journée ensoleillée passée ensemble. Cette image sera comme un câlin familial autour de votre poignet, vous rappelant les liens qui vous unissent.

Le portrait de votre animal de compagnie

Votre compagnon à quatre pattes, toujours avec vous.

  • Que diriez-vous d’une photo de votre fidèle compagnon ? Chaque fois que vous jetterez un coup d’œil à votre bracelet, c’est comme si leur petite frimousse venait vous saluer, vous apportant une dose instantanée de bonheur.

Un paysage de votre lieu préféré

Emportez un morceau de votre paradis partout avec vous.

  • Que ce soit une plage tranquille, une montagne majestueuse ou les rues pavées de votre ville favorite. Choisir une photo de votre lieu préféré est comme garder une fenêtre ouverte sur ce monde de rêve, où que vous soyez.

Une citation inspirante

Des mots qui vous motivent et vous inspirent.

  • Parfois, une image peut être remplacée par des mots puissants. Une citation inspirante dans votre bracelet peut être un rappel constant de vos aspirations et de vos rêves, comme un petit coach personnel autour de votre poignet.

Un souvenir de voyage mémorable

Idée d'image bracelet photo voyage

Revivez vos aventures à chaque regard.

  • Sélectionnez une photo d’un voyage mémorable, peut-être un coucher de soleil à l’autre bout du monde ou une scène pittoresque d’une ville que vous avez explorée. C’est comme porter une carte de votre parcours personnel, un récit de vos aventures.

Conclusion

Votre bracelet photo personnalisé est une toile vierge qui attend de raconter votre histoire. Que vous choisissiez une photo qui rappelle votre famille, un animal de compagnie adoré, un lieu qui vous tient à cœur, des mots qui vous inspirent, ou un souvenir de voyage cher, chaque image a le pouvoir de transformer ce bijou en un trésor personnel. N’hésitez pas à expérimenter et à changer l’image selon votre humeur ou l’occasion, car après tout, un bracelet photo est aussi dynamique et évolutif que la vie elle-même. D’ailleurs, vous pouvez personnaliser votre bracelet ici et créer une pièce mémorable.

Eliott Erwitt : rétrospective

Eliott Erwitt Rétrospective, affiche de l'expo

Eliott Erwitt : rétrospective, est organisée par Tempora, l’agence Magnum et la Sucrière de Lyon qui l’accueille dans ses murs jusqu’au 17 mars 2024. C’est un déplacement de l’exposition que je vous ai présentée dans mon article «Exposition photographie printemps 2023». Au printemps et pendant l’été derniers, c’est le musée Maillol qui a accueilli cette rétrospective avec un grand succès à Paris.

Entre temps, Eliott Erwitt est décédé, le 29 novembre à New-York ce qui confère à l’exposition lyonnaise une plus grande dimension émotionnelle

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Humanisme, ironie, humour

Voici les trois mots empruntés par les commissaires pour présenter l’exposition. Elle est riche de 215 photographies en noir et blanc ou en couleur. Le parcours, divisé en huit thèmes invite à découvrir tous les aspects de l’œuvre de l’artiste. On distingue les clichés personnels d’Erwitt, pour lesquels il privilégie le noir et blanc et les « commandes » qui sont plutôt en couleur. Mais son regard, qui combine humour et émotion, sa touche personnelle,  apportent une cohésion à l’ensemble de son œuvre.

Eliott Erwitt Rétrospective, photo de l'xpo

Photo de l’exposition © Tempora

Eliott Erwitt, ne pouvant plus se déplacer, n’a pas pu voir l’exposition, mais il en a définit les thèmes. Vous découvrirez ses clichés comme il les a lui-même mis en scène.

La fin du parcours,  « Espace Fabrique », évoque l’atelier new-yorkais du photographe : décor et mobilier, accessoires inspirés de son matériel. On prend conscience de l’étendue des activités d’Erwitt en lien avec la photographie.

Eliott Erwitt

Eliott Erwitt

Eliott Erwitt est né à Paris en 1928. Il passe les premières années de sa vie en Italie et en France puis, de confession juive la famille émigre aux États-Unis en 1938.

Eliott étudie la photographie et la réalisation cinématographique jusqu’en 1950. Membre de l’agence Magnum à partir de 1959, il construira sa réputation grâce à ses portraits de personnages célèbres. Il pratique également la photographie humaniste et il nous amuse avec ses clichés de chiens pris à la hauteur des canidés.

« En réalité, dire qu’il y a de l’humanité dans mes photos est le plus grand compliment qu’on m’ait jamais fait. »

Eliott Erwitt

Je développerai la biographie d’Erwitt dans un prochain article

Eliott Erwitt : rétrospective. Informations pratiques

La Sucrière, quartier « Confluence », 48 – 50 quai Rambaud – Lyon 2ème

Horaires :

Fermé le lundi.

Du mardi au vendredi : 10 h / 17 h

Samedi et dimanche : 10 h / 18 h

Prévoir 1 h 30 pour la visite 

La réservation en ligne est conseillée

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Studio Harcourt

Studio Harcourt entrée

Studio Harcourt fêtera en 2024 son 90ème anniversaire. Les frères Jacques et Jean Lacroix, patrons de presse, les photographes Cosette Harcourt et Robert Ricci sont ses fondateurs. Il a fait sa réputation grâce aux portraits artistiques en noir et blanc de personnages célèbres. Aujourd’hui Studio Harcourt Paris (son nom actuel) continue son activité dans l’esprit des fondateurs. Chacun peut se faire photographier au studio et avoir son image dans le style des portraits des célébrités du XXème siècle.

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l’histoire

Cosette Harcourt

Quatre fondateurs sont à l’origine de Studio Harcourt. Les frères Lacroix (Jacques et Jean) sont des patrons de presse qui ont besoin de portraits de qualité pour illustrer leurs magazines. Germaine Hirschfield changera d’identité pour échapper à la persécution des juifs. Elle devient célèbre sous le nom de Cosette Harcourt. Le studio qu’elle dirigera pendant 30 ans portera son nom. Le quatrième fondateur est Robert Ricci, fils de la couturière Nina Ricci.

Dans un premier temps, le studio s’installe rue Christophe Colomb, puis successivement avenue d’Iéna, rue de la Paix,  rue Royale, rue des Acacias, rue de Lisbonne, rue Jean Goujon. Depuis 2016, il réside dans un hôtel particulier du 16ème, 6 rue de Lota, sur 1 000 m²

Grâce au carnet d’adresse de Cosette le studio acquerra dès sa création une réputation dans le milieu du cinéma et de la culture. Avec un des frères Lacroix, son époux, Cosette crée un magazine nommé « Vedettes » qui utilisera les photographies du studio. Pendant la deuxième guerre mondiale, les occupants allemands et les personnalités de la collaboration sont les nouveaux clients. Les américains les remplacent à la libération.

Après guerre, la reprise

La paix revenue, le studio reprend ses activités sous la direction de Cosette Harcourt jusqu’à la fin des années 1960. C’est la période faste. En 1952 le magazine Life écrit : « Harcourt est le plus grand studio de portrait au monde, il vend du glamour et de la photographie haut de gamme »

Les premières difficultés financières apparaîtront dans les années 1980. Le ministère de la culture va racheter les fonds de photographies du studio (5 millions de négatifs accumulés de 1934 à 1991). Cette opération n’empêchera pas le dépôt de bilan de l’entreprise.

Un des anciens photographes Pierre-Anthony Allard reprend la société en 1993. En 2002, il s’associe avec Anne-Marie de Montcalm. Elle sera propriétaire de la marque, Allard en sera le directeur artistique. Puis en 2007, les difficultés financières conduiront le studio à la liquidation judiciaire.

Francis Dagnan, homme d’affaires passionné de photographie, rachète la marque et en confie la direction générale à Catherine Renard. Sous l’impulsion de ce duo, qui s’adresse à un public plus jeune, le chiffre d’affaires sera triplé en quelques années.

le style

Studio Harcourt, la prise de vue

Quand il veut se « faire tirer le portrait », le modèle doit se plier à la mise en scène du studio. Il doit accepter le « cahier des charges » :

La lumière, est produite par le fameux éclairage au tungstène hérité du cinéma des années 1930. Les spots en contre-jour, les effets moirés sur le fond et le halo enveloppant le regard contribuent à la mise en scène .

La pose, sobriété avant tout, le modèle est souvent de trois-quarts, parfois de profil, rarement de face. Le regard est généralement détourné ou levé, perdu dans le lointain. Exceptionnellement le regard peut être direct, fixé sur l’objectif.

Le cadre, l’absence de profondeur de champ, le fond neutre éliminent toute distraction du regard. Seul le sujet est important.

Le cadrage, le sujet est photographié en gros plan, plan épaule, ou plan poitrine.

Coffret portrait
La griffe

Se rendre au studio c’est vivre une expérience exceptionnelle qui se termine par la remise solennelle d’une superbe boîte noire contenant la photographie, numérotée, poinçonnée, enveloppée dans du papier de soie.

« Nous sculptons pour l’éternité la beauté du tréfonds. Mais en fait de burin, de ciseau,  de marteau, nous ne disposons que de la lumière. Or, la lumière, brute, clinique, ne se montre pas aussi loquace sur tous les types de visages. Aussi, les artistes du studio, doivent-ils en éprouver tous les registres, en maîtriser la grammaire, le phrasé, car, oui, photographier, c’est écrire la lumière. C’est la lumière immatérielle qui laisse l’empreinte, bien concrète, elle, livrée dans son cocon de papier de soie et son écrin griffé.

L’autre secret du studio : décontextualiser le modèle, le cadrer de près, si possible dépouillé de tout attribut distinctif, nimbé d’une lumière qui dédaigne résolument tout ce qui brille pour révéler la présence de l’être, le secret d’un esprit. Il n’y a pas un photographe en particulier, mais tout un studio, une ambiance. Sans cette ruche affairée autour du modèle, pas d’image propre à émouvoir »

François Dagnan, Président Directeur Général du Studio Harcourt, Paris

Studio Harcourt Paris, aujourd’hui

Aujourd’hui le studio réside dans un bel hôtel particulier, 8, rue de Lota dans le 16ème. Il revendique 5 millions de négatifs, 3 500 000 clients dont 3 000 célébrités. Il est labélisé « Entreprise du Patrimoine Vivant ». Outre ses portraits individuels, le studio propose des portraits professionnels, des portraits de couple ou de famille. Il officie également dans la photo publicitaire et la photo d’architecture.

Le café

Le Café Harcourt

Studio Harcourt est également un musée dans lequel vous pouvez découvrir une belle collection d’appareils photo. Il organise régulièrement des expositions temporaires et vous pouvez consulter les archives. Vous pourrez déjeuner au Café Harcourt (ou dîner les vendredis et samedis), réservation conseillée. La boutique propose des objets de prestige signés Harcourt. Ils sont également disponibles en ligne en suivant le lien ci-dessous.

Pour tout savoir sur les prestations offertes par le studio, voici le lien vers leur site :

Les portraits

Edith Piaf

Je ne pouvais pas finir cet article sans l’illustrer de portraits célèbres.

J’ai choisi celui d’Edith Piaf tiré par Cosette Harcourt elle-même, en 1946 et celui contemporain de Laetitia Casta. Pour en voir plus, je vous suggère de visiter la galerie dans le site du studio ou de consulter les livres consacrés au Studio Harcourt. J’en ai sélectionné plusieurs à retrouver dans la librairie :

Laetitia Casta

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Photobooths de Mariage : Conseils et Astuces pour une Animation Mémorable

Introduction

Les mariages sont des occasions spéciales où chaque détail compte pour créer des souvenirs durables. Parmi les nombreuses options d’animation, les photobooths gagnent en popularité en raison de leur capacité à capturer des moments spontanés et amusants. Dans cet article, nous explorerons l’importance des photobooths de mariage et partagerons des conseils pratiques pour une animation mémorable.

Pourquoi Opter pour un Photobooth?

Photobooths mariage

Le choix d’un miroir photobooth pour votre mariage n’est pas simplement une tendance éphémère, mais plutôt une décision judicieuse pour plusieurs raisons. Tout d’abord, les photobooths offrent une activité divertissante qui engage les invités et crée une atmosphère décontractée. En outre, ils permettent de capturer des moments spontanés et authentiques, ajoutant une dimension unique à votre album de mariage.

Quel objectif pour un photobooth ?

Lorsque l’on considère l’intégration d’un photobooth dans le cadre d’une célébration aussi significative qu’un mariage, l’objectif dépasse largement le simple acte de capturer des images. Il se situe à un niveau bien plus profond, relevant d’une expérience immersive visant à encapsuler l’essence même de la joie partagée et des liens affectifs.

Le photobooth, méticuleusement conçu, sert de vecteur émotionnel, invitant les convives à plonger dans des moments fugaces de spontanéité et d’authenticité. L’objectif premier est de créer un espace où la créativité se manifeste, où chaque sourire, chaque éclat de rire et chaque geste d’affection se transforment en souvenirs indélébiles.

Ainsi, au-delà de sa fonctionnalité visuelle, le photobooth devient une plateforme immersive qui catalyse l’expression individuelle et collective. Son objectif ultime est de transcender la simple capture d’images pour devenir l’architecte visuel de souvenirs intemporels, contribuant ainsi à l’écriture d’une histoire visuelle inoubliable de ce jour exceptionnel. En somme, le photobooth devient le miroir de l’émotion partagée, transformant l’ordinaire en extraordinaire dans le cadre d’une célébration aussi unique qu’un mariage. Choix de l’Emplacement du Photobooth.

Le choix de l’emplacement du photobooth est crucial pour son succès. Vous voulez créer un point focal accessible à tous les invités, tout en évitant de perturber le flux de l’événement. Optez pour un endroit stratégique, comme près de la piste de danse ou à proximité du bar, pour encourager la participation.

Où mettre le photobooth dans un mariage ?

Trouver l’emplacement idéal pour le photobooth peut être un défi. Cependant, en pensant à la circulation des invités, vous pouvez maximiser son impact. Placez-le à un endroit où il sera remarqué mais pas au centre de l’attention. Ainsi les invités pourront choisir de participer à leur guise.

  1. À l’entrée de la réception. Placez le photobooth près de l’entrée de la salle de réception pour que les invités puissent facilement le repérer en arrivant. Cela peut créer une première impression mémorable et encourager les gens à participer dès leur arrivée.
  2. Près de la piste de danse. Si la piste de danse est un point central de la réception, envisagez de placer le photobooth à proximité. Cela peut ajouter une atmosphère festive à la piste de danse et encourager les invités à prendre des photos amusantes avant ou après avoir dansé.
  3. Dans un coin lounge ou un espace détente. Si votre mariage dispose d’un coin lounge ou d’un espace détente, le photobooth peut être une excellente addition à cet endroit. Les invités peuvent prendre des photos pendant qu’ils se détendent, créant ainsi une ambiance décontractée.
  4. À côté du bar : Placer le photobooth près du bar peut être une idée astucieuse. Les invités qui attendent pour prendre un verre peuvent profiter de l’occasion pour prendre des photos. Cela peut également contribuer à animer la file d’attente au bar.
  5. À l’extérieur (si le temps le permet). Si votre mariage a lieu en extérieur et que les conditions météorologiques le permettent, envisagez de placer le photobooth à l’extérieur. Cela peut offrir des opportunités de prise de vue originales avec un éclairage naturel.
  6. Dans un endroit thématique. Si votre mariage a un thème spécifique, placez le photobooth dans un endroit qui correspond à ce thème. Par exemple, si le thème est vintage, un coin rétro peut être approprié.
  7. À proximité du lieu où se déroulent les activités principales. Si des activités spéciales sont prévues lors du mariage, comme des discours, des toasts, ou des jeux, placez le photobooth à proximité. Les invités pourront y participer avant ou après ces moments spéciaux.

Comment faire tenir un photobooth ?

Faire tenir un photobooth demande une planification minutieuse. Assurez-vous qu’il est solidement installé pour éviter tout accident. En outre, fournissez des instructions simples sur son utilisation, même si cela peut sembler évident. Cela garantira une expérience fluide pour tous les invités.

Comment faire un décor photobooth ?

Photobooth de mariage 2

Le décor du photobooth joue un rôle essentiel dans la création d’une ambiance festive. Optez pour un thème qui reflète votre personnalité ou le style de votre mariage. Des guirlandes de fleurs aux accessoires amusants, personnalisez l’espace pour qu’il soit en harmonie avec le reste de la décoration. Vous pouvez visiter Fotomax.

  1. Choisissez un thème : Sélectionnez un thème qui correspond à l’ambiance générale de votre mariage. Que ce soit vintage, bohème, élégant, tropical, ou autre, assurez-vous que le décor du photobooth s’harmonise avec le reste de la décoration.
  2. Déterminez l’emplacement. En fonction de l’emplacement du photobooth que vous avez choisi (voir la réponse précédente), adaptez le décor en conséquence. Par exemple, si le photobooth est près de la piste de danse, vous pourriez intégrer des éléments liés à la musique et à la fête.
  3. Créez un fond attrayant : Le fond du photobooth est l’élément central. Utilisez des matériaux tels que des guirlandes de fleurs, des rideaux en tissu, des ballons, ou même une toile peinte pour créer un arrière-plan visuellement intéressant. Assurez-vous que le fond est assez grand pour accueillir plusieurs personnes en même temps.
  4. Intégrez des accessoires thématiques : Ajoutez des accessoires amusants et adaptés au thème pour que les invités puissent les utiliser pendant leurs séances photo. Des chapeaux, des lunettes, des pancartes avec des messages amusants, des masques, et d’autres accessoires peuvent ajouter une touche ludique.

Interactivité de Classe avec les Invités

Photo de mariage

Les photobooths offrent une interactivité de classe avec les invités. L’inclusion de props tels que des chapeaux, des lunettes et des pancartes avec des messages humoristiques ajoute une touche ludique aux photos. Encouragez les invités à se déguiser et à exprimer leur créativité, créant ainsi des souvenirs uniques et hilarants.

Conclusion

En conclusion, les photobooths de mariage sont bien plus que des accessoires amusants. Ils sont des architectes de souvenirs, capturant l’essence même de la célébration. En suivant les conseils mentionnés ci-dessus, vous pouvez vous assurer que votre photobooth devient le point culminant de votre mariage. Il laissera derrière lui des souvenirs gravés dans les cœurs et les albums photo de tous les invités. Alors, n’hésitez pas à ajouter cette touche spéciale à votre journée spéciale et à créer des moments qui dureront toute une vie.

Regard sur les Alpes sauvages

Regard sur les Alpes sauvages est la nouvelle exposition que nous propose le Musée Charles Nègre de Nice. À voir à partir du 18 novembre.

Elle présente l’œuvre de Robert Forte, un enfant du pays.

Regard sur les Alpes sauvages. Introduction

La Dibona, Massif des Ecrins, 2020 © Robert Forte

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Bloc-notes automne 2023, Nice, 2ème période

Regard sur les Alpes sauvages gypaète barbu

Nous avons vu dans mon article : Bloc-notes automne 2023, le programme du Musée Charles Nègre. Il expose jusqu’au 20 janvier 2024, Robert Doisneau, Le merveilleux du quotidien dans le musée proprement dit.

Dans la galerie, deux expositions rythment la saison. Carrare, le crépuscule de la montagne de Julie Hascoët a pris fin le 5 novembre dernier. Regard sur les Alpes sauvages de Robert Forte la remplacera à partir du 18 novembre.

<<< Gypaète barbu, Mercantour, 2015 © Robert Forte

Robert Forte

Robert Forte Montagne

Surnommé Robby, originaire de Nice, Robert Forte s’est orienté vers la photographie à la suite d’un accident de la route qui l’a handicapé. Il a une autre passion : la montagne et naturellement son projet devient la photo de nature et animalière.

« Un jour, une lumière attire votre attention. Vous êtes submergé par une émotion que vous n’arrivez pas à décrire; laissez-vous envahir par ce trouble. Préserver cet instant, souvent magique, est indispensable »

Robert Forte

L’œuvre de Robert Forte

Tetra Lyre Robert Forte

Tétras Lyre, Alpes-de-Haute-Provence, 2020 © Robert Forte

Regard sur les Alpes sauvages n’est pas seulement le titre de l’exposition. Il est le fondement de l’œuvre de Robert Forte. Le photographe parcourt les Alpes du sud au nord avec son boîtier plein format, son trépied et ses objectifs 20-70 mm  et  70-200 mm. Son regard va dénicher la stupéfiante beauté des lieux et surprendre les animaux sauvages. Par ses images, il transmet au public l’émotion de ses rencontres avec la nature et les animaux qui l’habitent.

« Les Alpes m’offrent un terrain de jeu idéal pour représenter les paysages et la faune » 

Robert Forte

La photo animalière est la démarche d’un véritable trappeur. La connaissance des animaux, les longues heures de marche, le suivi des traces au sol, préparent l’approche pour les prises de vue. Puis il faut mettre en place le poste de surveillance en tenant compte du terrain et de l’évolution de la lumière.

Vous ne pourrez peut-être pas vous rendre à Nice, cette saison? Pour découvrir le travail de Robert Forte, je vous donne le lien vers son site :

Le musée Charles Nègre de Nice

Une fois de plus, le Musée Charles Nègre de Nice propose une belle exposition. Le public peut voir des images harmonieuses, loin des tendances imposées par la dictature du prêt-à-penser. « La montagne est belle », chantait Jean Ferrat. Robert Forte nous fait partager les expériences qu’il en fait.

Pour connaître les horaires du Musée Charles Nègre, voici le lien vers leur site :

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